… en passant par la mythologie et l’Histoire !
Des récits entre humanité, féminité et divin : bienvenue dans mon univers !
Je m’appelle Marie Tétart et j’écris depuis que je sais lire — depuis que j’ai six ans. J’écris des romans qui réinterprètent la mythologie grecque ainsi que de la fantasy naturaliste et poétique. Je suis également passionnée d’histoire antique grecque et romaine.
Mes grandes amours, hormis l’écriture et la lecture : l’histoire, le jeu de rôles et la nature. Tous les plaisirs qui stimulent la sensorialité, la sensibilité et l’intellect. Toux ceux qui nous font prendre conscience de notre statut d’être vivant.
La passion de la littérature et de l’Histoire
Je suis passionnée par l’Histoire depuis mon enfance. Très tôt, mes parents nous ont fait faire le tour de l’Hexagone et de son patrimoine culturel et historique. La généalogie des rois de France est rapidement devenue un terrain de jeu pour moi.
Par la suite ou en même temps, j’ai dévoré des quantités de romans et d’essais historiques. Vers mes douze ans, j’ai découvert la bibliothèque de mes grands-parents, celle qui contient tous les merveilleux classiques du XIXe siècle en format poche. Celle dont les pages jaunies expirent un long parfum plein de regrets…
Zola, Balzac, Hugo, Maupassant, Stendhal, les sœurs Brontë, Colette, mais aussi Steinbeck et d’autres romanciers du XXe siècles : je les ai dévorés. C’est ainsi que j’ai découvert d’inoubliables personnages féminins de la littérature anglaise et française comme Jane Eyre, Claudine, Gervaise, Boule-de-Suif, la petite Fadette…
… et aussi le plus vieux des romans en mythologie grecque : L’Odyssée !
Je suis redevable à deux écrivains découverts vers cette époque. Ils ont fortement inspiré ma façon d’écrire.
- D’une part, Jeanne Bourin, une romancière française et auteur médiéviste qui a écrit la magnifique Chambre des dames, adapté à la télévision dans les années 1980. Son souci du détail historique, son tableau des XIe, XIIe et XIIIe siècles et sa description des sentiments humains ont été une révélation pour moi.
- D’autre part, Gilbert Cesbron, un écrivain à mes yeux injustement oublié des années 1950-1960, qui plonge dans la psychologie de l’être humain avec un réalisme aussi saisissant qu’émouvant. Je lui dois beaucoup en terme d’introspection narrative.
La découverte de la littérature de l’imaginaire
Un peu plus tard, pendant mes études, j’ai découvert à la fois le jeu de rôles et la fantasy de Robin Hobb.
Le JDR est devenu une passion dévorante. Il a pris une telle place dans ma vie que j’ai arrêté d’écrire pendant quelques années (il faut dire qu’on ne ressort pas très frais de nuits successives de jeu et de couchers à 6 heures du matin). Je suis même devenue MJ pour des vampires « vivant » en pleine antiquité romaine (l’histoire antique a toujours été très présente dans ma vie, j’en reparle plus loin !).
Toutes ces années passées à interpréter suceurs de sang, serve opprimée, guerrière-démon, noble byzantine, samouraï, flibustière, princesse de l’espace, télépathe, terroriste de l’IRA, chasseuse de primes chiss… et j’en passe n’ont pas été perdues pour ma verve littéraire.
Pendant ces années, j’ai aussi découvert l’œuvre d’une romancière de fantasy, Robin Hobb, un peu par hasard.
À partir de là, j’ai avalé tout L’Assassin Royal. Puis Les Aventuriers de la Mer. Puis Le Soldat Chamane (mon préféré). Puis Les Cités des Anciens. J’ai fini par élargir mon horizon tout azimuts : Élisabeth Vonarburg et Francis Berthelot, Terry Pratchett, Mary Shelley, Lovecraft et Anne Rice, Aldous Huxley, Ray Bradbury, George Orwell et, plus récemment des écrits contemporains du XXIe siècle : SF militaire de Warhammer 40K, Jawroski et Stefan Platteau…
C’est par le biais de cette littérature et de la pratique du jeu de rôles que j’ai commencé à écrire de la fantasy.
« Quand je serai grande, je serai écrivain »
Mes romans de mythologie grecque et fantasy naturaliste
Quand j’avais six ans, je disais que mon métier serait celui d’écrivain.
Depuis, j’ai presque toujours écrit. De petites histoires sur de petits carnets. Puis des romans sur de grands cahiers. J’ai expérimenté l’écriture sur PC à la fin des années 1990 en terminant mon premier roman.
Par la suite, les études et le début de ma vie professionnelle m’ont entravée dans cette passion, mais j’y suis revenue par le détour du jeu de rôles. Elle ne m’a plus jamais quittée.
La fantasy naturaliste et poétique
Quand on dit fantasy, les gens ont tendance à s’arrêter à des clichés ou à des cases. Des monstres, des elfes et des orques, une quête (initiatique ou non). Je ne me reconnais pas dans ces critères.
Quand j’écris, je recherche surtout la force psychologique des personnages et le sens du détail dans la création et le déploiement de l’univers. Je travaille aussi le style comme une orfèvre. C’est très important pour moi.
Tous ces éléments me font penser au naturalisme à la Zola. Je trouve donc le terme « fantasy naturaliste » très pertinent et je n’ai pas peur de le revendiquer. 🙂
Même si mon univers n’existe pas, je veux qu’il ait la richesse et la cohérence de notre monde lorsque vous le parcourez. Je veux qu’il devienne « vrai » pour vous, dans toutes ses facettes : culturelles, politiques, militaires, religieuses et même économiques !
Tout ça sans oublier que ce qu’on aime suivre avant tout, quand on lit une histoire, c’est le personnage, ses espoirs, ses doutes, ses errements et ses erreurs.
Pour autant, le surnaturel n’est pas complètement absent. Il existe par touches subtiles, un peu comme dans notre monde, lorsque, brièvement touché par une impression, une sensation, un instinct (appelez ça comme vous voulez), on se demande : « Et si… ? » C’est le fameux thambos grec.
Le surnaturel est une manière fabuleuse d’aborder le divin, la foi, les croyances. C’est aussi une belle façon d’interpréter l’altérité et le rapport au vivant.
Du fantastique mythologique
À partir de là, la transition vers le roman de mythologie grecque est facile !
Ces dernières années, ma passion pour l’Histoire m’a emmenée de plus en plus loin dans le temps. Plus jeune, j’étais très amoureuse du beau Moyen-Âge. Ensuite, pendant mes études, j’ai fait un mémoire sur l’empire romain tardif et les royaumes germaniques.
Depuis, ma passion m’emmène toujours plus loin en arrière, vers Rome dans toute sa plénitude, mais aussi vers la Grèce classique, archaïque, mycénienne et minoenne… mythologique.
J’écris donc aussi des textes (romans et nouvelles) qui réinterprètent les mythes grecs anciens et d’autres qui prennent place en divers points de l’antiquité romaine. Je prépare notamment des romans qui plongeront dans le monde romain à l’époque de ses premiers contacts avec la société gauloise.
Mon blog est l’occasion d’enrichir constamment mes connaissances de ces périodes et de les partager avec d’autres passionnés ! C’est aussi une porte ouverte sur mes écrits, qui sont toujours sourcées même si, dans le cas des mythes, je m’autorise parfois quelques fantaisies qui servent le récit.
J’entraîne mes lecteurs dans un voyage encore plus immersif en Grèce et Rome antiques via mon Patreon. 🙂
Petit aparté, juste pour le plaisir : vous connaissez Loreena McKennit ? Sa musique m’inspire profondément. J’y trouve ce cheminement dans la nature, mêlé à un cheminement dans les cœurs et les âmes humaines, qui m’inspire tant. Le tout brodé d’imaginaire.
Si vous ressentez l’émotion en l’écoutant, vous êtes fait pour me lire. 🙂
Plongeons dans la Grèce et la Rome antiques !
Pour me suivre de manière plus confidentielle, retrouvez-moi :
- sur Facebook et Instagram pour de petites publications amusantes sur les mythes grecs et l’antiquité gréco-romaine ;
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- au fil des pages de ce blog, dans des articles sourcés sur de multiples aspects de ces périodes (j’y propose aussi des extraits de mes romans sur la mythologie grecque et l’antiquité romaine).
Je vous invite aussi à lire gratuitement ma nouvelle Le Dit de l’oracle sur la Pythie de Delphes. 🙂